Four Seasons Geneva
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Un week-end d’hiver au Four Seasons Geneva

Chronique d’une parenthèse élégante

Certains week-ends commencent avant même que l’on pose ses valises. Le nôtre a commencé sur le parvis du Four Seasons Geneva, un vendredi après-midi où l’air était froid et parfaitement clair, comme si la ville avait décidé de nous accueillir avec la bonne dose de précision suisse et de glamour discret.

Nous revenions pour la deuxième fois. Une sorte de rendez-vous hivernal devenu rituel. On y était l’an dernier. On y était cette année. On y sera l’année prochaine. Certaines adresses ne se quittent plus.

Vendredi : l’arrivée qui dit tout

La télécommande de notre voiture décide de jouer les divas et ne s’ouvre plus. Avant même que nous ayons le temps de lever un sourcil, le voiturier l’a remarqué, a changé la pile, testé, approuvé. C’était réglé. Il y a des hôtels où l’on demande. Et il y en a d’autres où l’on devine.

La réception nous accueille avec un professionnalisme qui ne se prend pas au sérieux. Nous avons besoin d’une baignoire pour Ambre ; la chambre est changée avec le sourire, aucune lourdeur, aucune hésitation. Pendant que l’équipe prépare tout, nous attendons dans le hall illuminé pour Noël. Pas les décorations criardes qu’on voit parfois. Non. Ici, tout est une question de nuances, de doré doux, d’éclat juste au bon endroit. Une ambiance qui pourrait appartenir à n’importe quelle capitale du style.

Une fois installés, direction le marché de Noël. Ambre monte sur le manège avec ce mélange de concentration et de joie pure que seuls les enfants maîtrisent. Nous dînons ensuite au Chalet de la Fondue, une adresse parfaite pour s’immerger dans l’hiver. L’ambiance, les lumières, les odeurs de fromage chaud : tout y était.

Samedi : Genève en mode exploration

Le lendemain, nous partons explorer Genève. La ville a ce charme feutré l’hiver, élégante sans s’excuser de l’être. Nous marchons sur la Rue du Rhône, cet alignement impeccable de vitrines qui semblent sorties d’un éditorial luxe. Un peu plus loin, la Rue du Marché offre une ambiance plus éclectique, mais toujours très agréable, avec cette façon subtile qu’a Genève de mêler chic et normalité.

Nous rejoignons ensuite des amis aux Kiosque pour déjeuner. L’ambiance était excellente, le lieu vivant et chaleureux. La cuisine n’était pas inoubliable, mais parfois, ce n’est pas l’assiette qui compte. C’est le moment, les rires, les conversations qui ne regardent que ceux qui y participent.

Nous rentrons ensuite au Four Seasons. À la nuit tombée, l’hôtel devient encore plus beau, enveloppé dans une lumière qui le transforme presque en décor de cinéma. La chambre est prête pour Ambre, les attentions sont là, posées sans démonstration. Ce genre de soin constant est rare : on le remarque d’autant plus.

Dimanche : la douceur avant le départ

Le dimanche matin, nous avons commandé le petit-déjeuner en chambre. Le plateau arrive parfaitement préparé, avec œufs, viennoiseries, jus, tout ce qu’il faut pour prolonger la douceur avant le retour. Ambre regarde Coco de Disney pendant que nous déjeunons. La scène est simple, mais elle restera probablement comme l’une des images symboliques de ce séjour.

Plus tard, nous descendons à la piscine. Ambre reçoit ses brassards et de petites chaussures adorables. L’eau, la lumière, le calme : le moment est presque trop parfait pour un dimanche matin. Pendant ce temps, mon mari rejoint des amis de Genève au Lounge, où l’atmosphère feutrée prolonge l’esprit du week-end.

Et comme toujours… la suite l’hiver prochain

Il y a des hôtels qui deviennent des chapitres. Celui-ci est devenu un rituel. Après deux hivers consécutifs, nous savons déjà que le troisième aura lieu. Genève en hiver a quelque chose de rare, et le Four Seasons encore davantage.

Nous reviendrons l’hiver prochain. Et bien sûr, on vous racontera tout.

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