L’arrivée : comme une encre douce déposée sur du papier de riz Ce matin-là, Kyoto s’ouvrait à nous comme une lettre calligraphiée au pinceau fin. Nous venions de Tokyo par le Shinkansen, ce train qui file entre les paysages comme un haïku glissant sur un souffle. Notre fille, blottie contre la vitre, regardait les cerisiers …
