Le chemin vers l’éveil : une route entre ciel, pins et silences
Terre Blanche Hôtel Spa Golf Resort : Ce n’était pas un simple voyage. C’était une quête douce, presque silencieuse, comme une page blanche que l’on s’apprête à remplir à trois mains. Lui, elle, et leur petite fille, curieuse du monde, avide d’herbes folles et de parfums nouveaux. Ils quittèrent leur quotidien comme on se dépouille d’un manteau d’hiver : doucement, le cœur déjà tourné vers le Sud.
La route sinueuse s’ouvrait peu à peu, bordée de cyprès, de lauriers en fleurs et de cette lumière si particulière du Var. À l’horizon, des collines tendres, habillées de brume matinale. Et au bout, comme un secret bien gardé : Terre Blanche Hôtel Spa Golf Resort, posé là, dans le silence élégant de Tourrettes, suspendu entre nature et luxe, entre enracinement et élévation.
Leur fille s’endormait dans son siège, bercée par les virages. Eux se tenaient la main, un peu émus. Il y a des lieux qui murmurent avant même qu’on les atteigne.
L’arrivée : quand l’espace devient écrin, et le temps un souffle
Dès qu’ils franchirent les grilles du domaine, ce ne fut pas un hôtel qu’ils découvrirent, mais une atmosphère. Un murmure de pinède, un parfum d’essences rares. Les bâtiments, d’un ocre chaud, semblaient faire corps avec la terre. Ici, pas de faste bruyant, pas de luxe ostentatoire. Mais une élégance sereine, presque chuchotée.
Un voiturier au sourire sincère, des valises prises avec délicatesse, une suite spacieuse avec terrasse ouverte sur le vallon des collines de Fayence. Et ce silence, toujours. Celui qui invite à l’écoute. Celui qui dit : « Vous êtes ici, vraiment ici. »
Leur fille ouvrit grand les yeux. Elle marcha pieds nus sur le parquet tiède, attrapa une fleur sur la table. « C’est pour maman », dit-elle. Et ce fut le premier cadeau du séjour.

Les premiers pas : entre rires d’enfant et soupirs d’adulte
Ils descendirent jusqu’aux bassins du spa, un monde en soi. L’eau y avait le parfum des pierres chaudes et des huiles essentielles. Tandis qu’elle se faisait masser dans une pièce feutrée, bercée par une musique aux notes boisées, lui initiait leur fille aux plaisirs simples d’une pataugeoire ombragée. Petits éclats d’eau, petits éclats de rire.
Au retour, leurs peignoirs effleurant les herbes hautes, ils se retrouvèrent sur la terrasse, devant une citronnade maison. Le soleil dansait sur leurs verres. Ils ne parlaient presque pas. Mais tout en eux disait la même chose : ici, on respire mieux.
La table : un poème pour les sens, un hommage au vivant
Le soir venu, la lumière se fit plus douce. Ils prirent place au restaurant gastronomique du resort, Le Faventia. Une salle sobre, avec vue panoramique sur les collines dorées. L’ambiance y était feutrée, mais jamais guindée. On y sentait cette chaleur du Sud, cette envie sincère de faire plaisir sans en faire trop.
La première bouchée fut une surprise : asperge verte de Mallemort, mousse légère au citron confit, croustillant de parmesan. À la deuxième, ils sourirent. À la troisième, ils se regardèrent longtemps, sans dire un mot.
Chaque plat était une déclaration. Le homard rôti, posé sur une déclinaison d’agrumes, semblait flotter sur l’assiette. L’agneau de Sisteron, fondant, parfumé au thym sauvage, réveillait des souvenirs d’enfance et de vacances provençales.
Leur fille, curieuse, goûtait à tout. Un petit bout de pain au levain, une cuillère de purée de topinambour, un éclat de framboise du dessert. Elle mangeait lentement, les yeux brillants. Elle aussi, ressentait.
Et quand arriva le dessert – un entremet au chocolat grand cru et huile d’olive – ils surent que ce dîner resterait en eux comme une chanson douce.
Le lendemain : éveil, nature et initiation
Le matin se leva sur une brume tendre. Ils prirent le petit-déjeuner en terrasse, entourés d’oliviers et de chants d’oiseaux. Les confitures étaient faites maison, le pain encore tiède, les jus fraîchement pressés. Leur fille cueillit une figue tombée de l’arbre. Elle la goûta, et son sourire fut le plus beau des remerciements.
Puis ce fut l’heure du golf. Il prit un départ très tôt, pendant qu’elle accompagnait leur enfant au Kids Club, un paradis miniature fait de cabanes, de livres et de sable doré. Lui, arpentait les 18 trous du parcours Le Château, entre vallons et lacs cristallins. Elle, découvrait un soin au hammam, aux senteurs d’eucalyptus et de miel.
Chacun vivait son moment, à sa manière. Et pourtant, tout était partagé. Comme si le lieu tissait entre eux un fil invisible. Un fil de paix.
L’après-midi : la sieste, les jeux et le ciel
Ils se retrouvèrent autour de la piscine à débordement. Un coin d’azur suspendu entre ciel et terre. Leur fille, en brassards, jouait à lancer un canard jaune. Eux, allongés sur des transats, les mains jointes, parlaient de tout et de rien. De la douceur du temps. De la chance d’être ensemble. Du monde, aussi, mais sans peur.
Et quand les nuages se firent plus denses, ils montèrent dans leur suite, pour une sieste à trois, entre draps fins et coussins moelleux. Leur fille s’endormit la première. Puis elle. Puis lui. Le silence reprit sa place, comme une mer calme.
Le dernier soir : un adieu qui n’en est pas un
Pour leur dernière soirée, ils choisirent la simplicité. Un dîner en chambre, avec vue sur la vallée. Des assiettes composées avec soin : burrata crémeuse, tomates anciennes, focaccia tiède. Et une bouteille de rosé pâle, légère comme le vent.
Ils mangèrent doucement. Ils parlèrent de revenir. D’un jour où leur fille serait plus grande. D’un séjour plus long, peut-être. Ou d’un simple week-end. Peu importait. Ils savaient qu’ils reviendraient.
Elle regarda les étoiles. Il la regarda, elle. Et leur fille, assise sur ses genoux, chuchota : « C’est beau ici. »
Oui. C’était beau. C’était simple. C’était Terre Blanche.
L’ultime instant : partir en emportant plus qu’on est venus
Le lendemain matin, les valises bouclées, les clés rendues, ils montèrent dans la voiture. La route serait la même. Mais eux, non. Quelque chose avait changé. Un calme intérieur. Une gratitude sincère. Comme si ce lieu les avait remis au centre d’eux-mêmes.
Ils regardèrent une dernière fois le domaine aux allées de cyprès, aux villas discrètes, aux jardins suspendus. Puis ils partirent. Lents, apaisés, amoureux plus que jamais.
Et leur fille, du haut de ses 3 ans, déclara :
« On reviendra ici, pour toujours. »
Terre Blanche Hôtel Spa Golf Resort
📍 3100 Route de Bagnols-en-Forêt, 83440 Tourrettes, Var – France
🌐 www.terre-blanche.com