HEBERGEMENTS

Havre de Paix : Expérience Inégalée à l’Hôtel Aston La Scala

Face au Jardin Albert-Ier, entre la lumière de la Méditerranée et les vibrations élégantes de la ville, l’Hôtel Aston La Scala incarne une certaine idée de l’art de vivre niçois. Ce reportage mêle expérience familiale, précision journalistique et regard sensible sur un établissement 4 étoiles idéalement situé à Nice.


Acte 1 – L’envie & la décision

Nous avions quitté Lyon avec l’envie simple de retrouver la mer en hiver, cette lumière pâle qui glisse entre les façades ocres et annonce toujours une forme de recommencement. Théodore avait déjà décrit Nice à Ambre comme une ville “où les palmiers saluent les enfants”, et cette image avait suffi à orienter notre choix. Ma femme, Siam, rêvait d’un lieu central, d’où l’on pourrait rejoindre la Promenade des Anglais sans effort, mais assez calme pour que nos soirées restent douces. L’Hôtel Aston La Scala s’est imposé naturellement : son rooftop, sa vue sur le jardin et son ancrage en plein centre offraient à notre trio le juste équilibre entre ville et contemplation.

Nous voyageons toujours à trois. Ambre, qui grandit avec une curiosité sans frontières, est devenue la boussole de nos escapades. Nice en janvier, avec son air presque printanier, nous appelait pour une parenthèse où l’on pourrait ralentir, observer et se laisser porter.


Acte 2 – L’arrivée & le décor

L’arrivée à Nice s’est faite en douceur. Le taxi a longé la mer avant de s’enfoncer vers l’avenue Félix-Faure. Devant l’hôtel, la façade claire se détachait sous un ciel d’un bleu feutré. À peine descendus, Ambre a levé les yeux vers les balcons et soufflé : “On voit tout d’ici !” — une manière enfantine de saluer le panorama avant même de l’avoir découvert.

À l’intérieur, l’accueil a été chaleureux, précis, sans emphase. La lumière caressait les tonalités beiges et boisées du lobby, tandis que le murmure de la ville filtrait en arrière-plan. De notre chambre, la vue se déployait sur le Jardin Albert-Ier : vert tendre, palmiers élancés, silhouettes de passants qui semblaient glisser comme des ombres douces. Cette perspective a immédiatement apaisé notre rythme.

Siam a ouvert la fenêtre pour respirer l’air humide de la mer, et Ambre s’est installée au bord du lit, fascinée par la grande roue qui scintillait encore à quelques pas. Nice, déjà, entrait dans notre intimité.


Acte 3 – L’expérience

Le soir, nous sommes descendus au Restaurant L’Horloge, la table de l’hôtel. La salle, contemporaine et sobre, laissait une place généreuse aux assiettes. Théodore a choisi un poisson du marché grillé, servi avec une huile d’agrumes subtile ; j’ai préféré un risotto crémeux dont la texture, presque veloutée, rappelait la douceur des hivers méditerranéens. Siam, fidèle à ses habitudes, a goûté le filet de bœuf rôti, saisi avec précision et accompagné d’un jus réduit d’une vraie profondeur.

Ambre, du haut de ses trois ans, a plongé sa cuillère dans ma panna cotta au citron. Son regard s’est éclairé d’une surprise fraîche, presque amusée, comme si elle découvrait une nouvelle façon de sourire. Cette anecdote, anodine et pourtant précieuse, est le genre de fragments que nous collectionnons lors de nos voyages : des impressions simples, qui forgent le souvenir plus sûrement qu’un cliché parfait.

Le lendemain, nous avons profité du rooftop, vide en cette saison. Le vent léger déplaçait à peine les eaux calmes de la piscine. Théodore a montré à Ambre les lignes géométriques des toits niçois, les palmiers alignés comme une procession silencieuse, la mer à l’horizon. Nous avions l’impression d’être en suspension, entre le bruissement de la ville et une forme de tranquillité que seul l’hiver sait offrir.


Acte 4 – Le souvenir & l’envie d’y revenir

En quittant l’Hôtel Aston La Scala, une sensation claire nous habitait : celle d’avoir séjourné dans un lieu qui connaît sa ville et la laisse entrer dans chaque détail — la lumière, les perspectives, le murmure du jardin, la proximité des ruelles du Vieux-Nice.

Ce que nous retenons, au-delà du confort et de la localisation exceptionnelle, c’est cette facilité à se sentir accueillis, à trois, sans artifice. Nice, vue depuis l’Aston, devient un tableau vivant dont on observe les nuances du matin au soir.

Et nous savons déjà que nous reviendrons.
Certaines adresses ne cherchent pas à éblouir : elles accompagnent. Elles deviennent des escales, presque des confidences. L’Aston La Scala appartient à cette catégorie rare.


Encadré factuel – Hôtel Aston La Scala (Nice)

Nom : Hôtel Aston La Scala
Adresse : 12 Avenue Félix Faure, 06000 Nice, France
Site web : https://www.hotel-aston.fr/
Téléphone : +33 4 92 17 53 00
Services : Hôtel 4★, restaurant L’Horloge, rooftop avec piscine, bar Moon Bar, salles séminaires

Vous pourriez également aimer...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *