Entre vignobles, collines et lumière douce, Les Terres de Saint-Hilaire offrent un art de vivre provençal où le temps ralentit. Un refuge pour voyageurs en quête de nature, de calme et de sophistication discrète.
L’histoire de l’établissement
Le domaine des Terres de Saint-Hilaire, situé à Ollières (Var), s’étend sur plus de 1 550 hectares mêlant vignes, forêts et collines. Hébergement confidentiel au cœur d’un vaste domaine viticole, l’adresse propose chambres, appartements et gîtes, une piscine extérieure en saison ainsi qu’un accès direct à de nombreuses activités de plein air. L’âme du lieu repose sur une architecture provençale restaurée avec sobriété : pierre claire, volets pastel, volumes simples, et ce charme naturel que l’on retrouve dans les grandes demeures rurales du Sud.
Un séjour aux Terres de Saint-Hilaire
Acte 1 – L’envie & la décision
Le besoin de ralentir nous a guidés vers Ollières. Après plusieurs mois intensifs, l’idée d’un week-end en famille, au calme, m’est venue presque instinctivement. J’en ai parlé à Siam au petit-déjeuner ; elle a levé les yeux vers moi avec un sourire qui voulait dire : « allons-y ». Et Ambre, du haut de ses huit ans, a ajouté qu’elle voulait « voir les vignes de près ».
Nous voyageons toujours tous les trois, et c’est souvent elle, Ambre, qui oriente nos escapades. Cette fois, son envie de nature provençale a suffi. En quelques minutes, notre choix était fait : Les Terres de Saint-Hilaire, un domaine vaste, lumineux, à mi-chemin entre maison de campagne et refuge secret.
Acte 2 – L’arrivée & le décor
Nous sommes arrivés en fin d’après-midi, bercés par le balancement des petites routes de Provence-Verte. Les pins formaient une voûte, les cigales semblaient chanter spécialement pour nous, et une ligne de vignes a soudain ouvert le paysage : un ruban vert, dense, presque infini.
À l’entrée du domaine, une allée bordée de ceps parfaitement alignés nous accueillit. L’air avait cette odeur caractéristique de la garrigue en été : mélange de romarin, de sol chaud et de bois sec.
La bâtisse principale, en pierre blonde, semblait posée là depuis toujours. À mesure que nous avancions, le silence s’est fait plus doux, ponctué seulement par le vent qui glissait entre les arbres. L’accueil fut simple, presque familial : un sourire, un geste de la main, une clé.
Ambre, elle, n’a pas attendu. Dès qu’elle a aperçu la piscine turquoise dont la surface frémissait au vent, elle a déclaré : « on va y aller ce soir, hein ? ».
Acte 3 – L’expérience
Notre chambre familiale était baignée de lumière. De la fenêtre, les vignes descendaient en terrasses légères jusqu’à la lisière d’une petite forêt. Le mobilier, sans ostentation, mêlait bois clair, tissus neutres et quelques touches modernes.
Le premier matin, Ambre s’est levée avant nous, a tiré les rideaux, et a chuchoté : « on dirait que les vignes disent bonjour ». Sa voix douce a suffi à nous réveiller en douceur.
Nous avons passé la journée à explorer le domaine. Un chemin de terre longeait les rangs de ceps ; sous nos pas, les brindilles craquaient, et au loin on apercevait un cheval immobile dans un pré. Ambre a tenté de l’appeler, et l’animal, placide, a tourné la tête vers elle. Elle en a fait son “ami du week-end”.
Dans l’après-midi, nous avons rejoint la piscine. C’était ce moment précis où le soleil décline, mais chauffe encore. L’eau reflétait les collines, les silhouettes se déplaçaient lentement, presque silencieuses.
Le soir venu, nous avons dîné dans la petite auberge du domaine. Une cuisine simple, sincère : légumes du terroir, viande tendre, huile d’olive locale, vin du domaine pour accompagner. Rien de spectaculaire, mais tout avait le goût vrai des tables provençales où l’on respecte la saison et le produit.
Une anecdote qui restera : Ambre, en goûtant un légume rôti, a dit très sérieusement : « ça a le goût du soleil ». La serveuse a ri. Et nous aussi.
Ce sont ces moments — un geste, une phrase, un éclat de rire — qui transforment un séjour en souvenir.
Acte 4 – Le souvenir & l’envie d’y revenir
Le dernier matin, j’ai marché seul dans les vignes. Le soleil se levait juste au-dessus des collines, une lumière orangée glissait sur les feuilles. Le silence de ce moment, presque sacré, resterait longtemps.
Quand nous avons repris la route, Siam a dit que cet endroit lui donnait l’impression de respirer mieux. Et Ambre, depuis la banquette arrière, a ajouté : « on pourra revenir quand les raisins seront encore plus gros ? ».
Les Terres de Saint-Hilaire ne sont pas seulement un hôtel. C’est un lieu où l’on retrouve le rythme de la nature, un écrin où la vie se dit plus doucement.
Une phrase pour résumer ?
Ici, la Provence ne s’observe pas : elle se vit, lentement, comme une confidence.
Pourquoi venir à Ollières
Entre Aix-en-Provence et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Ollières offre un visage authentique de la Provence intérieure : nature préservée, vignes à perte de vue, collines parfaites pour les randonnées, et un art de vivre attaché au goût des choses simples. Un point d’ancrage idéal pour une parenthèse douce.
Encadré factuel SEO
Nom : Les Terres de Saint-Hilaire
Adresse : Route de Rians, 83470 Ollières, Provence-Alpes-Côte d’Azur, France
Site web : https://www.terresdesainthilaire.com/


